freddybicool a écrit :Ar, c'est là ou il y a les taches d'huile.

Oui, normalement, mais faut être vigilent au "ruissellement"...et aux divers fluides qui s'échappent de nos mamies....
Il faut bien regarder la couleur, l'odeur, voir goûter, ça donne de bonnes indications....
Il faut être un peu oeunologue, tu vois...
Tu as les bordeaux, puissant, à la robe bien foncé, souvent des coteaux enclavé sur les fonds de carter moteur....
Tu as les rosés, plus muscé, clairs, bien fruités, surtout sur la chemise blanche, sur des coteaux escarpés de cater de boite...
Puis tu as les blancs plus licoreux, sucrés, là, les coteaux abruptes du haut radiateur, ou de petites propriétés en durittes, sans parler des grands crus venus direct des coteaux du bloc...
Une propriété peu connu, la grand vis sans fin, un cépage noueux, sur les coteaux du boitier de direction....
Puis, tu as les listel, moins fort, mais acide, sur de petites propriétés moins connues, sous le nom de Cotes de Maitre Cylindre, ou Cuvée de recepteur, moins ensoleillé, mais bien fruité aussi...
Dans les mêmes cépage, tu retrouvera la cuvé du Tambour, une sorte de liqueur qui tiens bien en bouche, plutôt foncé, avec une robe épaisse et granuleuse....
Le blanc sec, plutôt sur des plaines du sud, le haut médoc, les chateau reservoir, bien fruité aussi, parfait avec des coquillages et crustacés...
Aprés, tu as les alcool gras, qui se fluidifient aux beaux jours....des alcools pâteux, sur les collines tourbillonnantes des arbres de transmissions....
Tu as aussi les vapeurs, mais on verra ça une autre fois....
